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Instable petite pute
Instable petite pute, salope parmi les traitres. Comprends bien, que je me fous de ce que tu fais de ton cul. Métaphoriquement t'es une chienne, et c'est bien suffisant. Tu joues sur toutes tes insécurités, tu t'inventes un monde dans lequel te noyer, mais aller arrête. Gamine capricieuse et manipulatrice. Derrières tes prunelles, une indicible cruauté, plus rien à sauver. T'as pas toujours été comme ça, mais qu'est-ce que ça change ? Tu fais du paradis un enfer. Parce que t'es cassée, que t'as perdu des morceaux, t'essaie de briser les autres, pour leur voler les pièces qui te manquent. Raclure. Tu détruis ; tu es. Tu es un combat permanant, un couteau planté dans le dos. Tu es un baiser, transformé en morsure de serpent. Mais qui l'aurait cru ? Derrière tes airs de petite fille, qui a grandi trop vite, qui cherche son enfance perdue, qui aurait cru trouver une sorcière ? Qu'on te brûle. Que tes cendres s'envolent au vent, qu'elle s'éloignent vers d'autres océan. Qu'elles se mêlent au sable, sur lequel les enfants jouent. Qu'elles soient témoins de la vie, que tu aurais pu avoir mais que tu as gâché. Qu'elles retournent au monde que tu as quitté.
Instable petite pute, qui ne mérite ni la mort ni la vie, tu n'es
Rien d'autre que
Mon reflet dans le miroir.
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